Je m'appelle Adrien, ingénieur généraliste de profession, je suis un véritable passionné de santé globale et du bien-être humain.
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Alcoolisme : causes, symptômes et quelles solutions concrètement ?
Un français consomme en moyenne 2.7 verres d’alcool tous les jours. L’alcoolisme est devenue une maladie vicieuse à tel point qu’elle peut s’installer de manière subtile et progressive dans nos vies.
Bien souvent, c’est au moment où la consommation quotidienne devient nécessaire au consommateur que l’addiction est bien réelle mais qu’il est bien souvent trop tard pour faire machine arrière.
Mais ce n’est pas parce que la maladie est présente qu’on ne peut pas trouver de solutions concrètes à ce problème de santé publique qui nous concerne tous. 3,3 millions de personnes dans le monde décèdent suite à l’utilisation de l’alcool, ce qui représente presque 6% des décès dans le monde rien qu’avec l’alcool.
C’est pourquoi, dans cet article j’aimerai aborder l’alcoolisme en profondeur, les réelles causes qui en sont responsable, les symptômes que l’on connaît tous mais qu’il est bon de rappeler et enfin les solutions concrètes que l’on peut mettre en place pour se débarrasser de l’addiction.
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1. Les causes de l’alcoolisme.
Concrètement concernant les causes de l’alcoolisme, on va voir ensemble dans un premier temps les propos officiels que vous allez entendre ou lire la plupart du temps et dans un deuxième temps des explications que vous allez voir ou entendre assez rarement pour rentrer un peu plus en profondeur dans la cause.
a) Ce que vous allez entendre ou lire partout.
Officiellement, la cause exacte de l’alcoolisme est encore méconnue. De plus en plus d’études montrent que les prédispositions à cette maladie peuvent être héréditaire.
Les risques d’être atteint de cette maladie augmentent lorsque les membres de la famille sont alcooliques également. Je reviens sur ce point juste après.
Les autres facteurs que l’on constate qui peuvent être la cause de l’alcoolisme sont les troubles psychiatriques comme la schizophrénie, la dépression, l’anxiété, la pauvreté, l’isolation sociale, la timidité. Je reviens en détail sur ces points juste après également.
Habituellement, on va dire que les drogues de manière générale activent un “mécanisme de récompense” dans le cerveau, ce qui explique que si une personne consomme une drogue et se sent bien, elle va vouloir en consommer davantage.
Le corps s’habitue à ces effets, c’est pourquoi on augmente inconsciemment la quantité pour ressentir les mêmes effets et que l’on s’enferme dans un cercle vicieux de dépendance à alcool.
b) Ce que vous allez entendre ou lire rarement.
Il se peut que certaines choses dans ce paragraphe vous choquent, vous challengent, vous agacent et c’est probablement une bonne chose. C’est le signe qu’il y a quelque chose à travailler sur soi-même plus en profondeur parce que cela active une réponse émotionnelle.
Bien qu’il n’y ait pas de cause connue de l'alcool, soyons honnêtes qu’une personne bien dans sa peau ne peut pas devenir alcoolique chronique.
L’alcool comme tout autre drogue est un excellent moyen de fuir la souffrance de son quotidien et la réalité de ses problèmes pour vivre l’euphorie et la gaieté dans un état modifié de conscience que provoque l’alcool.
Lorsque j’étais lycéen ou jeune étudiant, pendant les soirées, on me demandait pourquoi je ne buvais pas d’alcool ? Je répondais que le goût ne me plaisait pas avant de parler des troubles liés à la santé.
J’entendais souvent ce type de retour comme réponse : “Mais si tu ne bois pas, comment tu fais pour être heureux, rire et t’amuser ?” A un moment donné, j’ai pris conscience lorsque la question revenait fréquemment qu’il y avait réellement un sérieux problème dans notre société.
Parce que si je comprends bien le sens profond de la question, cela voudrait dire que l’on ne peut pas être heureux, rire et s’amuser en temps normal et que l’on est obligé de se mettre dans un état modifié de conscience grâce à l’alcool notamment pour savourer et apprécier le plaisir de la vie.
Fuir sa réalité et ses problèmes du quotidien par l’alcool, c’est se mentir à soi-même, se faire du mal et on en arrive à culpabiliser notre entourage de ne pas être dans la même situation. Que l’on soit clair, la seule et unique personne responsable de la qualité de sa vie est nous-même. Personne d’autres.
Lorsque l’on commence à accuser les autres autour de nous, l’alcool, le tabac, le sucre, les abus sexuels ou toute autre chose que l’on se raconte est une excuse pour éviter d’affronter le mal-être de notre réalité.
L’alcool comme tout autre drogue est un moyen de camoufler un mal-être plus profond que l’on se refuse de voir et d’assumer. Encore une fois, si cela fait naître une réaction émotionnelle, c’est le signe qu’il y a une part de vérité dans ce que vous venez de lire.
Abordons maintenant le sujet de l’hérédité et de la génétique. Je suis conscient que la génétique a de l’influence sur nos comportements mais nous vivons dans un monde de dualité où toutes les composantes de la vie s’équilibrent par paire.
D’un côté il y a la génétique certes, mais de l’autre côté pour équilibrer la balance il y a l’épigénétique. Les deux forment la paire permettant à chacun d’entre nous d’atteindre un certain équilibre. Il ne tient qu’à nous de se rapprocher le plus possible de cet équilibre.
Pour rappel, la génétique est quelque chose sur lequel on ne peut rien changer parce que notre génome est fixe mais l’épigénétique correspond à l’expression de nos gènes en fonction de notre environnement. C’est à dire que dans votre corps, il y a des gènes actifs et d’autres qui sont silencieux.
Vous pouvez changer l’expression de ces derniers en fonctions de votre environnement, c’est à dire de vos habitudes de vie. Concrètement, si vous avez un gène de “cancer” actif en vous, rien de vous empêche de le rendre “silencieux” si vous changez certaines de vos habitudes : manger moins d’aliments acides, dormir tôt, faire une cure de Breuss, boire du jus de carotte tous les jours, etc …
C’est de cette manière que des personnes arrivent à traiter le cancer comme tout autre maladie parce que le gène est redevenu “silencieux”. De cette manière, on se rend compte qu’il est de notre devoir d’assurer notre état de santé et que ce n’est pas qu’un simple héritage que l’on obtient à la naissance.
Cette notion peut bousculer certaines consciences également mais c’est pourtant les dernières avancées scientifiques qui sont maintenant avérées depuis plusieurs années.
Cela donne également un énorme espoir parce que l’on se rend compte qu’une maladie n’est pas quelque chose qui nous tombe dessus par hasard mais bien parce que nos habitudes de vie ne respectent pas le fonctionnement optimal de notre corps.
On ne peut plus voir la maladie comme une tuile qui nous tombe dessus mais comme un signe porteur d’un message que notre corps nous envoie pour nous avertir que nos habitudes de vie (alimentation, activité physique, sommeil, hygiène, psychologie, relations, …) ne sont peut être pas les bonnes.
Donc ce n’est pas l’alcoolisme qui est héréditaire, c’est le comportement et les mêmes habitudes (c’est à dire l’environnement) que l’on reproduit de nos parents qui est héréditaire. Bien souvent, on visualise nos parents comme nos modèles.
Même si nos parents nous disent lorsqu’on est enfant que ce n’est pas bien de boire de l’alcool mais qu’il le font quand même, évidemment on va retenir le fait que l’on peut boire de l’alcool malgré le fait que ça ne soit pas bon. On finit toujours par croire et reproduire les résultats et les actes plutôt que les paroles et les dires.
Donc dire que l’alcoolisme est héréditaire, c’est la meilleure excuse que l’on peut se trouver pour ne pas affronter le problème qui nous concerne et nous détruit petit à petit.
Les habitudes de nos générations antérieures peuvent être reproduites ce qui entraîne ce caractère héréditaire mais nous avons le contrôle de changer ou non nos habitudes. Ceux ne sont pas nos parents qui vivent à travers notre corps. Changer les habitudes et le problème disparaît.
2. Les symptômes de l’alcoolisme.
L’alcool est une substance addictive a haute teneur en sucre qui est extrêmement acide pour l’organisme. L’acidité à haute dose fait dégénérer les cellules humaines. D’ailleurs, l’alcool a la faculté de déséquilibrer complètement la production de neurotransmetteurs dans notre cerveau.
Par exemple, la sérotonine est le neurotransmetteur qui permet de lutter contre la dépression. Or l’alcool est une substance qui diminue fortement la capacité de production de cette hormone cérébrale.
Bien que les personnes alcooliques paraissent heureuses et pas du tout déprimées lorsqu’elles sont sous l’effet de l’alcool, cela prépare un mauvais terrain pour la suite.
Ayez toujours ce réflexe de penser que si quelque chose nous apporte une importante dose de plaisir à court terme, on en payera sans doute le prix à long terme.
Evidemment, c’est plus agréable de prendre des bonbons bien sucrés plutôt que de prendre des fruits. Mais ces 15 ans d’une telle habitude répétée entraînera tôt ou tard des conséquences.
C’est plus agréable de prendre une bonne pizza plutôt que du quinoa ou des légumes verts. Mais ces 15 ans d’une telle habitude répétée entraînera tôt ou tard des conséquences.
C’est plus agréable de prendre de l’alcool ou du coca-cola plutôt que de boire de l’eau, un jus de légume ou un thé vert. Mais ces 15 ans d’une telle habitude répétée entraînera tôt ou tard des conséquences. Vous voyez ou je veux en venir.
Evidemment, je suis volontairement provocateur en disant cela, mais ce qui est important de comprendre, c’est que les petits plaisirs par ci par là s’accumulent avec le temps et bien souvent, la plupart des gens se rendent compte de leur effets néfastes lorsqu’il est déjà trop tard.
A la suite de mon internat en classes préparatoire, j’ai prit la décision d’arrêter de consommer du coca cola et je me rends compte maintenant avec le recul que c’est l’une des meilleures décision que j’ai prise de ma vie.
Consommant du coca cola régulièrement voir quotidiennement par moment, les conséquences sur mon organisme dans 15 ans n’auraient probablement pas été les mêmes que si j’avais continué à en consommer comme si de rien n’était.
Deux ans plus tard, j’ai décidé de ne plus manger dans les fast-foods que je fréquentait régulièrement auparavant lorsque je n’avais aucune éducation alimentaire.
Même si on sait que les fast foods n’apportent pas la meilleure qualité de nourriture au monde, on continue de les fréquenter parce que notre ignorance des réelles conséquences de cette consommation est trop grande.
Lorsque nous rentrons dans les détails des dangers de ce mode alimentaire, la prise de conscience s’effectue et la décision peut alors se prendre.
C’est pourquoi l’éducation alimentaire est fondamentale à mon sens pour arrêter toute sorte d’addiction et stopper les mauvaises habitudes si la maladie et le corps lui même ne nous arrête pas avant. Il en est exactement de même pour l’alcoolisme.
Voici quelques symptômes d’une consommation excessive d’alcool à long terme. Je rappelle que les symptômes ne sont que les signes et les messages que notre corps nous envoie pour nous confronter à nos propres comportements.
Prendre conscience que la vie en n’a pas après nous mais qu’elle cherche plutôt à nous faire réaliser qu’on est pas parfait, que l’on a le droit à l’erreur et qu’il y a certaines choses dans nos habitudes que nous devrions changer pour nous rétablir est l’un des plus beaux cadeaux que nous puissions nous faire.
Voici à présent les conséquences d’une consommation excessive d’alcool :
Arythmies → Il s’agit des rythmes cardiaques anormaux qui peuvent causer la mort. Cela peut se produire y compris pour des jeunes s’ils consomment trop d’alcool même si le corps est réactif et stable.
Béribéri → C’est le nom donné à la maladie lié à la carence en vitamine B1 que l’on appelle également thiamine. Une carence accrue en vitamine B1 peut causer des lésions cardiaques et une dégénérescence mentale. La gestion de l’alcool par l’organisme demande de grandes quantités de vitamine B1.
Hypertension artérielle → La consommation d’alcool entraîne une pression sanguine élevée de façon continue. Ce n’est qu’un signe précurseur des arythmies cardiaques ou des lésions cardiaques.
Cirrhose du foie → Surmenage du foie qui entraîne son durcissement. La cirrhose se manifeste notamment lorsque dans un premier il y a une sclérose (induration) des tissus de cet organe. Autant dire que lorsque vous consommez de l’alcool, cela brûle les tissus qui se trouve dans le corps tellement l’alcool est fort. Une personne qui ne boit pas d’alcool peut même jusqu’à ressentir des sensations de brûlures.
Ulcères d’estomac → Si l’alcool est capable de brûler les tissus, il brûle également les muqueuses de notre organisme. Je rappelle que les muqueuses sont les zones de frontières entre notre milieu intérieur et extérieur, c’est pourquoi il est important de les protéger le plus possible. De plus, la muqueuse de l’estomac est particulièrement sensible à la consommation de l’alcool.
Lésions cérébrales et cardiaques → L’alcool fait dégénérer les cellules du cerveau, ce qui peut avoir des conséquences bien plus graves. Également, l’alcool peut favoriser une myocardiopathie, c’est à dire un changement de la taille et de la structure du coeur.
Perte de sensibilité → Si le système nerveux est trop affecté, il se peut qu’il se manifeste une perte de sensibilité au niveau des mains, des pieds et d’autres régions du corps.
Diabète → L’alcool est une substance qui est extrêmement sucrée, ce qui explique aussi son caractère acide en partie. Le diabète est causé par le dérèglement d’un organe vital que l’on appelle le pancréas et qui devient inopérant si la consommation de sucre est anormalement excessive et ce de façon chronique.
3. Les solutions concrètes.
Concrètement, il n’y a pas de solution miracle à ce type d’addiction. Comme le dit Hippocrates : “Il faut revenir à la cause et même à la cause de la cause.” Je crois que tout est dit dans cette simple phrase pleine de sagesse.
La solution à l’alcoolisme se trouve dans la cause qui a générée la consommation d’alcool à la base. En effet, toutes les solutions extérieures comme les médicaments, les tests, les stages ne seront d’aucune utilité à long terme s’il n’y a pas un vrai travail psychologique qui est fait avec la personne.
L’être humain a une partie animale en lui. Cette partie animale prend l’ascendant sur notre côté humain lorsque nous n’arrivons pas à exprimer pleinement la sagesse, l’intelligence et la divinité de cette partie humaine.
Pour combler ce manque d’expression qui génère un mal-être intérieur, l’animal refait surface et se réfugie dans toutes sorte d’addiction et de comportements qui vont lui procurer une grande dose de plaisir à court terme comme le sucre, le tabac, l’alcool, l’abus sexuel, etc …
Si l’humain n’arrive pas à trouver sa source de plaisir intérieure, l’animal prendra le dessus pour subvenir au plaisir par des éléments extérieurs. La vie se charge d’assurer notre équilibre entre plaisir et souffrance.
Fuir sa réalité intérieure en se réfugiant dans des substances extérieures est le moyen que trouve l’animal en nous pour éviter que l’humain puisse faire un travail de fond à savoir : remettre du sens sur sa vie et sur son existence.
Peut-être que certaines personnes ne comprennent pas le sens de ces derniers mots mais la réelle solution se trouve ici. Lorsque notre vie manque de sens et que la déprime s’installe, le plaisir de vivre diminue et instinctivement parce que l’on a pas envie de mourir, qu’est ce que l’on fait ?
On prend une bonne dose de plaisir par une substance addictive. Ainsi on reprend du plaisir à vivre mais à partir de quelque chose d’extérieur dont on va devenir esclave avec le temps et non un rêve, une cause intérieure qui nous est chère, qui nous anime et pour laquelle on est prêt à consacrer sa vie.
Remettre du sens dans sa vie et le pourquoi de nos actions met du temps mais tant qu’on cherche à fuir ce travail de fond, on s’éloignera toujours un petit plus de la réelle solution qui viendra balayer tous ces problèmes extérieurs.
En conclusion, l’alcoolisme n’est pas une fatalité en soi. L’alcoolisme est une maladie qui nous donne le message qu’il y a sans doute un manque de sens dans notre vie parce que l’on mérite mieux. L’être humain est grand, bon et fort lorsqu’il assume sa véritable puissance et toute la lumière qu’il y a en lui.
L’alcoolisme est le signe qu’il faut se poser de bonnes questions pour réorienter sa vie dans le bon sens et non s’enfermer dans une spirale infernale qui ne mène nul part qu’à la violence et la mort à la fin du compte et personne ne mérite cet épilogue de vie.
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