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Omnivore ? Carnivore ? Végétarien ? Herbivore ? Granivore ? Et l'homme ?
Dans cet article, j’aimerai expliquer comme quoi toutes les espèces de la création ont des nourritures spécifiques adaptées à leur anatomie et leur physiologie. L'homme ne fait pas exception.
L'alimentation humaine n'a pas arrêté d'évoluer depuis nos origines à tel point que même les scientifiques n'arrivent plus à se mettre d'accord sur cette question fondamentale de savoir quelle est la meilleure alimentation que l'on puisse consommer.
Omnivore ? Carnivore ? Herbivore ? Végétarien ? On ne s’est plus où donner de la tête face à une telle diversité de point de vue où les spécialistes ne sont pas toujours d’accord et pris entre désirs personnels alimentaires et admettre notre vraie nature d'être humain.
C’est pourquoi, voici un tableau récapitulatif dans les grandes lignes d’une comparaison anatomique et physiologiques des espèces.
1. L'homme est-il carnivore ?
Personne ne prétendra que l’homme est similaire au chien, au chat, au loup, au lion, au tigre carnivore mais bien qu’il s’apparente aux primates supérieurs parce qu’il est lui-même l’archétype des primates.
L’homme a la sécrétion salivaire contenant de la ptyaline, une enzyme nécessaire pour désintégrer l'amidon en sucre simple, un sucre que l'on retrouve dans les céréales et dans certains fruits et légumes dans un état immature ou cuit.
Chez les carnivores, les sécrétions salivaires ne contiennent pas de ptyaline du tout alors que l'homme en sécrète une petite quantité.
L’homme n’a pas l’équipement anatomique pour tuer, déchirer et manger une proie :
-
pas de griffes,
-
pas des longues canines,
-
pas de foie puissant et volumineux,
-
pas une fourrure,
-
ne transpire pas par la langue.
Même si notre opposition à la consommation quotidienne de viande est justifiée par cette comparaison physiologique et anatomique, il est important de savoir que la plupart des aliments concentrés en protéines ne sont pas le fondement de notre alimentation humain.
D’ailleurs le gorille qui est le primate le plus proche de l’homme ne consomme aucun aliment concentré en protéine (viande, poisson, blanc d'oeuf, légumineuse, fromage, ...). Ils pèsent 200 kilos de muscles en tirant leurs protéines des fruits, des légumes et des verdures principalement.
La recommandation officielle à l'heure actuelle est de manger un produit animal par jour (viande, poisson, oeuf) pour avoir suffisamment de protéines. Or, des savants ont découverts des populations musclées, saines et endurantes vivant avec seulement 10 à 20 grammes de protéines par jour.
Certaines populations reculées mangent des produits animaux quelques fois dans l'année et consomment essentiellement ce que le gorille mange, c’est à dire des fruits, des légumes et des verdures qui contiennent moins de 1% de protéines.
Je ne suis pas contre les théories diététiques et médicales émissent par l’homme mais je préfère me focaliser sur l’expérience et les faits qui sont plus porteurs de sens.
Plusieurs nutritionnistes reconnaissent que les aliments azotés, c’est à dire riche en protéines sont générateurs de maladies lorsque consommés en excès :
-
Maladies infectieuses comme les maladies de la peau (eczéma, psoriasis, acné, boutons, furoncles, rougeurs, démangeaisons, etc…)
-
Les ulcères,
-
Les maladies rénales,
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L’insomnie et l’hypertension,
-
Les tumeurs et le cancer.
C’est pourquoi, lorsqu’on observe que 25% à 30% de la mortalité est lié aux cancers, on peut penser aux aliments riche en protéines consommé en excès comme c’est le cas à l’heure actuelle et plus particulièrement en Occident.
Evidemment ceux qui consomment de la viande quelques fois par semaine n’ont pas du tout les mêmes risques que les personnes qui en mangent deux fois par jour ou à tous les repas.
C'est pourquoi l'homme n'est pas carnivore par nature. L'alimentation carnée n'est pas le point central de notre alimentation humaine même si on peut en consommer en petite quantité.
Je m'appelle Adrien, ingénieur généraliste de profession, je suis un véritable passionné de santé globale et du bien-être humain.
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2. L'homme est-il un granivore ?
Les granivores sont des animaux qui mangent surtout des graines et des céréales à l’état cru comme le blé, l’avoine, le maïs et bien d’autres mais aussi des fruits et des verdures en petites quantités.
Les oiseaux ou encore les volailles sont granivores. Ces espèces possèdent un gésier broyeur que l’homme n’en a pas, elles picorent les graines à l’état cru parce qu’elles sont comestibles et adaptées pour ces espèces.
L’homme ne peut pas les manger cru parce qu’il n’a pas de bec et a besoin de faire cuire le pain à plus de 230°C dans un four, après quoi il ne reste plus aucune vitamine ni rien de vivant parce que les micro-nutriments ne résistent pas à la chaleur.
Les céréales contiennent de l’acide phytique qui est un décalcifiant ce qui amène, ce qui une fois consommé en excès (tous les repas comme recommandé à l'heure actuelle) on assiste à :
-
déminéralisation des os,
-
déminéralisation des dents,
-
peaux sèches (rougeurs, démangeaisons, plaque de sécheresse),
-
cheveux sec, cheveux blancs et perte de cheveux.
Les graines à l’état naturel ne sont pas attirantes pour l’homme comme peuvent être les pommes, les poires, les fraises, les ananas. Les oiseaux en revanche sont très attirés à la vue des graines.
Les glandes salivaires de l’être humain sécrètent de la ptyaline pour transformer l’amidon en glucose mais en toute petite quantité. C’est à dire suffisamment pour transformer la petite quantité d’amidon qui se trouve dans les petits légumes racines tels que les choux-fleurs, les carottes, les pommes de terres, les topinambours, les rutabagas lorsque l'on les fait cuire.
Mais nos glandes ne sécrètent pas suffisamment de ptyaline pour digérer les amidons concentrés contenus dans les aliments farineux et féculents.
C’est pourquoi le temps de digestion est complètement différent en fonction des quantités d’amidons (concentrés ou non concentrés) dans les aliments :
-
Le blé (pain, pâtes, brioches, croissants) → 120 minutes
-
Le riz → 120 minutes
-
L’avoine → 80 minutes
-
Les pommes de terres et les patates douces → 10 minutes
L’équipement physiologique de l’humain n’est pas constitué pour élaborer les céréales :
-
ses dents pourrissent avec une sur-quantité d’amidon,
-
ses glandes salivaires sont vite surchargées,
-
son estomac est dépourvu de gésier broyeur,
-
ses intestins sont surchargés de molécules d'amidons qui tapissent leur paroi empêchant l'assimilation,
-
son foie est vite débordé et s'endurcit → cirrhose du foie.
La consommation en excès de pain et de céréales en tout genre mène aux développement des maladies catarrhales et les maladies rhumatismales à cause des déchets du métabolisme qu’elles entrainent après leur digestion.
Les maladies catarrhales sont :
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Le rhume
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La sinusite
-
La bronchite
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La pneumonie
-
L’asthme
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La colite
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L’esprit vaseux
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Les calculs hépatiques
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Les calculs rénaux
Les maladies rhumatismales sont :
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Rhumatisme
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Arthritisme
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Arthrose
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Lumbago
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Goutte
-
Polyarthrite
-
Diabète
En clair, nous ne sommes pas physiologiquement adapté pour faire des céréales et les féculents notre aliment de base comme c'est recommandé à l'heure actuelle.
Il est important de reconnaitre que les amidons concentrés sont l'une de nos plus grande source d'énergie (calories), c'est pourquoi certaines personnes ne pourront pas s'en passer définitivement au vue de leur rythme de vie. Mais on peut en limiter la quantité à quelques fois dans la semaine ou une seule fois par jour.
3. L'homme est-il végétarien ?
Il n'est plus à prouver l'importance des végétaux dans notre alimentation. La célèbre étude internationale appelé Rapport Campbell a clairement montré que plus on adopte une alimentation végétale en majorité, on se dirige vers la santé alors que plus on mange de produits animaux, on se dirige vers la maladie. Les maladies vus précédemment.
Beaucoup de courant diététique basent l'essentiel de leur régime alimentaire sur les végétaux. Parfois, ces courants peuvent devenir sectaires et restrictifs tellement la rigidité est de mise. C'est pourquoi, je vous conseille de ne jamais oublier votre droit d'être libre et d'agir en votre âme et conscience.
Physiologiquement, nous avons une structure anatomique de végétarien, c'est pourquoi on devrait consommer une majorité (51%) de végétaux dans tous nos repas et le plus possible à l'état cru pour conserver un maximum de nutriments (micro-nutriments ou macro-nutriments).
En consommant une alimentation à 75% d'aliments vivants (végétaux crus), vous pouvez vous assurer de tomber très peu malade lorsque l'alimentation en est la cause. Les végétaux crus contiennent toutes les substances vivantes et biologiques dont on a besoin pour fonctionner de manière optimale.
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3. Comparaison physiologique et anatomique.
Même si il y a des différences internes à l'organisme qui nous montrent que nous ne sommes pas des carnivores et des granivores de nature mais plutôt des végétariens, il y a 2 éléments extérieurs que nous seront obligés d'admettre et d'arriver à la même conclusion.
a) La dentition.
La dentition est un élément fondamental pour déterminer quelle nourriture est adaptée à l’espèce en question. Lorsqu’on observe la dentition d’un carnivore comme un chat ou un chien, on remarque de longues canines, coniques et tranchantes qui peuvent s’emboiter dans deux ornières opposées.
On observe également une rangée d’incisives entre les canines et les deux séries de dents arrières comme une double scie permettant de couper et déchirer la chair animale.
Si l’on compare avec nos dents en tant qu’humain, on se rend compte que l’arrangement de nos dents est complètement différent avec la présence de molaires et la capacité de mouvoir latéralement la mâchoire inférieure.
Les végétariens et les herbivores ne possèdent pas de telles canines, ils ont des molaires, capable de mouvoir leur mâchoire inférieure latéralement et leur dentition est faite pour broyer les fruits et les légumes alors que la dentition des carnivores est faite pour déchirer la viande.
Pour vous en rendre compte, donnez une morceau de viande à un enfant de 5 ans, vous verrez le temps qu'il mettra pour mâcher le morceau de bidoche. En revanche, passez lui un fruit, vous verrez la facilité avec laquelle il pourra le mâcher même cru plein de fibres.
b) La bouche et la face.
La bouche dépend de la nature de l’aliment et de la façon d’obtenir cet aliment qui correspond à la nourriture spécifique de l’espèce en question. Par exemple, les granivores comme les oiseaux se servent de leur bec pour picorer les graines, ce n’est pas le cas de l’homme.
L’homme n’a pas de bec pour picorer des graines et des céréales crues, ceci explique peut-être pourquoi elles ne sont pas comestibles à l’état naturel par l’homme.
De nombreuses espèces animales ont besoin d’un long museau avec une bouche s'ouvrant en avant par rapport aux yeux pour saisir la nourriture directement par la bouche.
Des herbivores comme le cheval, la vache ou encore la gazelle possèdent une longue face et une bouche assez protubérante par rapport aux yeux pour saisir leur nourriture.
Les carnivores utilisent leur bouche avancée pour saisir leur nourriture également mais aussi pour chasser la proie à tuer. Les primates et l’homme n’ont pas ces caractéristiques.
En effet, le gorille, le chimpanzé ou encore l’homme ont des mains qui leur permettent de saisir leur aliment spécifique en ramassant des fruits aux arbres et d’amener ces aliments jusqu’à leur bouche. La bouche n’est pas spécial pour obtenir de la nourriture, c’est pourquoi notre bouche n’est pas avancée par rapport à la face.
Les mains de l’homme accomplissent ce que font les museaux des carnivores, des omnivores, des herbivores ou encore le bec des granivores. L’homme n’appartient à la même catégorie que ces espèces. C’est pourquoi, leur alimentation spécifique ne doit pas être l'élément central de notre alimentation humaine. Uniquement des accompagnements à côté d'une majorité de végétaux.
En conclusion, on voit par notre physiologie et notre anatomie que nous devrions nous alimenter de végétaux crus en majorité. Sans tomber dans le sectarisme alimentaire et jouir de notre liberté d'humain pour ne pas tomber dans la monotonie (bien qu'il y a une infinité de combinaisons végétales dans les salades composées que l'on puisse faire).
Il est important de faire des repas d'exception pour éviter les contraintes sociales. En plus d'une majorité de végétaux crus (51% est idéal), on peut manger des protéines concentrés ou des hydrates de carbones (sucres) mais pas les deux en même temps.
Enfin, nous devons adapter la part de glucides et de corps gras/protéines à apporter à notre corps en fonction de notre état personnel.
Par exemple, une personne qui a la peau sèche et les cheveux secs, elle peut en conclure qu'elles consomment trop d'hydrates de carbones et pas assez de corps gras et de protéines. Ainsi, elle devra faire les changements en conséquences. Idem une personne qui a la peau grasse et les cheveux gras, elle peut en conclure qu'elle mangent trop de corps gras et pas assez d'hydrates de carbones. Il faut adapter également cela.
Il n'y a pas de régime parfait qui convient à tout le monde, chacun doit adapter son alimentation en fonction de ses besoins personnels.
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