Les 4 accords Toltèques pour vivre enfin libre !
Les 4 accords Toltèques propose un code de conduite extrêmement rigoureux et efficace pour transformer sa vie en conscience et à son rythme d’apprentissage pour faire l’expérience d’une vie de liberté, de bonheur pur et d’amour.
1. Que ta parole soit impeccable.
Premier accord le plus important et le plus difficile à implémenter dans son quotidien de tous les jours. La parole est tellement importante qu’elle est capable de transformer notre vie. Notre parole est notre pouvoir a créer les évènements de notre vie, c’est par elle que l’on manifeste les choses.
La parole n’est pas un simple son ou un symbole que l’on retranscrit à l’écrit. La parole est comme une lame à double tranchant, créatrice et destructrice à la fois, elle est le reflet de notre pouvoir intérieur. C’est par notre parole que se manifeste les choses, notre intention profonde se manifeste par les mots que l’on utilise.
C’est pourquoi, il est important d’utiliser les bons mots lorsque vous vous parlez à vous-même, aux autres et des autres, surtout parce que votre parole peut créer vos plus beaux rêves ou au contraire tout détruire autour de vous.
La parole est si puissante qu’elle peut sauver des vies ou au contraire en détruire des millions. La parole d’un seul homme en Allemagne il y a quelques décennies a changé le destin d’une nation toute entière.
Cet homme a conduit son pays à la guerre, convaincant certains de commettre des actes de violence, ce qui a réveillé la peur dans l’esprit des gens. Il a semé des graines de peur qui se sont développées avec force et ont réussi à provoquer une destruction massive ayant des répercussions mondiales.
En observant la puissance de la parole, nous devons réaliser qu’une simple graine de peur ou de doute dans notre esprit peut créer une succession dramatique d’évènements dans notre vie.
En tant qu’être humain, nous sommes des magiciens par l’intermédiaire de notre parole. Si quelqu’un dit : « Regarde cette fille comme elle est moche ». La fille en question qui entend cela croit qu’elle est moche et va ainsi grandir avec cette idée en tête.
Peu importe que ce soit vrai ou non (car la beauté est relative et perçue différemment selon les goûts de chacun), tant qu’elle accepte cette idée dans son esprit, elle la croira, et la communiquera à son environnement, qui en sera lui-même convaincu. La projection de notre image extérieure est le résultat de nos croyances.
Lorsqu’une parole a capté l’attention d’une personne, elle peut pénétrer l’esprit et changer une croyance en mieux ou en pire. Reprenons l’exemple de cette fille qui grandit avec l’idée qu’elle est moche. Cette croyance va la conduire à faire de nombreuses choses ne servant qu’à lui prouver qu’elle est vraiment moche.
C’est ainsi qu’elle va peut être vouloir faire de la chirurgie esthétique, se faire tatouer, demander une coupe de cheveux originale, qu'importe l'action tant que cela lui permet de guérir de sa croyance.
J’ouvre une parenthèse pour éviter les amalgames et les malentendus : je parlais dans cet exemple de la chirurgie esthétique, se faire tatouer et encore d'une coupe de cheveux originale pour des personnes qui ont un complexe profond avec leur physique et recherche une solution extérieure pour guérir un problème intérieur ; non pas celles qui souhaitent apporter une valeur ajoutée à leur personne par l’intermédiaire de leur corps afin de véhiculer une idée, une valeur ou encore une vision.
Par le biais de l’action de son choix, elle se sentira mieux parce qu’elle aura modifié le fondement même de cette croyance qui lui envahissait l’esprit, détruisant toute confiance en elle et l'empêchant de vivre, d'être heureuse.
Un travail de confiance en soi et de déprogrammation mentale aurait pu lui permettre de s’accepter telle qu’elle est et d'être fière du corps que la vie lui a offert à sa naissance. Si un autre jour, une nouvelle personne capte l’attention de cette fille et par sa parole lui fait découvrir qu’elle n’est pas moche.
La chirurgie, le tatouage ou peu importe le moyen de modifier l’image physique de son corps, tous ces moyens sont utiles et légitimes pour les personnes mais en aucun cas pour guérir une blessure émotionnelle profonde et intérieure dont il est initialement question ici.
Une croyance peut être remise en question ou au contraire renforcée. Si cette fille qui se croyait moche rencontre une nouvelle personne un jour et lui fait découvrir qu’elle n’est pas moche, sa croyance est ainsi remise en question. Elle n’agira plus comme quelqu’un qui véhicule l’image d’une personne moche.
Ainsi la croyance est détruite par la puissance de la parole également. Au contraire si cette personne dit à la femme qu’elle est vraiment moche, la croyance sera renforcée et peut se transformer en complexe traumatisant pour la jeune fille.
Impeccable veut dire sans péché. Vous agissez contre vous-même lorsque vous vous jugez ou vous vous critiquez, qu'importe la manière. Être impeccable signifie ne rien faire contre soi-même, c’est-à-dire que vous assumez l’entière responsabilité de vos actions sans vous juger et sans vous critiquer.
Le péché commence avec le rejet de soi. Avoir une parole impeccable, c’est ne pas parler contre soi-même. Si je me mets en colère et que j’exprime mon poison émotionnel contre vous par la parole en vous insultant par exemple, j’utilise ma parole contre moi-même car la réaction est réciproque.
Si je vous insulte, il y a très peu de chance que vous me fassiez un bisou et de grandes chances que vous m’insultiez en retour. Tout ce que l’on dit des autres revient à se le dire à soi-même.
A l’inverse, si je m’aime, j’exprimerai cet amour par ma parole et mes actions avec dans mon environnement. De cette manière, ma parole sera impeccable et vous recevrez cet amour en recevant un compliment venant de moi.
Si je vous aime, vous m’aimerez. Si je vous insulte, vous m’insulterez. Si j’ai de la gratitude envers vous, vous en aurez envers moi. Si je suis égoïste avec vous, vous le serez avec moi. Vous êtes mon miroir comme je suis votre miroir.
Avoir une parole impeccable, c’est savoir utiliser correctement son énergie à travers ses mots, c’est-à-dire dans le sens de la vérité, de la liberté et de l’amour de vous-même. Si nous posons l’intention que notre parole soit impeccable alors on se nettoie de tout le poison présent à l’intérieur de nous par la manifestation de vibrations de vérités.
Cependant, il est difficile d’implémenter cette intention parce que nous avons appris le mensonge comme mode de communication envers nous même et donc petit à petit envers les autres.
Le mauvais usage de la parole créait la situation que l’on a connu dans le monde et que l’on connait encore un peu à l’heure actuelle. On l’utilise pour médire, pour critiquer, pour juger, pour culpabiliser et pour détruire. On peut également l’utiliser pour créer la « magie » de la vie.
Aucun animal n’est capable d’utiliser la parole. Seul l’homme le peut, c’est l’un des plus beaux cadeaux que nous a donné la vie et nous l’utilisons bien trop souvent contre nous-même. La parole est une magie et son utilisation négative est de la magie noire qui peut nous maintenir au fond du gouffre dans un climat de peur et de doute si on apprend pas à s’en servir de la bonne manière.
Exemple : une femme intelligente et de bon coeur, rentre chez elle après une journée de travail et forte en émotion. Elle a un mal de tête qui la plonge dans un état mental abominable. Sa fille chantait et sautait joyeusement dans la maison, vivant dans son monde de jeune fille. Le fait d'entendre sa fille chanter la vie aggrava le mal de tête de cette femme au point de la faire craquer et de crier à son enfant : « Tais-toi! Tu as une voix horrible! Peux-tu simplement te taire ? »
En réalité, ce n’est pas la voix de la petite qui était horrible mais le seuil de tolérance au bruit de la femme qui était réduit à ce moment précis par son mal de tête.
Cette phrase qu'a capté la petite qui chantait de tout son être, a installé la croyance qu'elle avait une voix horrible. Elle ne se sentait plus à l’aise de chanter, se sentant coupable de déranger quiconque au moindre mot.
La jeune fille devient timide à l’école, refuse de chanter lorsqu’on lui demande et même parler aux autres peut-être difficile. Toute sa vie va être impactée par une simple parole exprimée par la personne qui l’aime le plus au monde, sa maman, un soir quand elle a involontairement déchargé sa tension émotionnelle sur sa fille.
Chaque fois que l’on écoute une opinion et qu’on la croit, elle fera partie de notre système de croyance jusqu’à ce qu’on ose la remettre en question par une nouvelle opinion. Ainsi on développe des complexes qui nous rongent la vie.
Inconsciemment, on fait de la « magie » noire sur autrui et sur nous-même lorsque nous n'avons pas conscience de la vibration des mots qui sortent de notre bouche ou qui circule par la voix de notre mental. Mais nous ne pouvons pas en vouloir à ces personnes parce qu’elles ne savent pas vraiment ce qu’elles font.
La connaissance est la première des libertés, c’est pourquoi lorsque l’on sait, notre champs de conscience s’élargit et l’être grandit vers un état plus avancé de son évolution.
Toutes ces croyances qui nous affectent négativement sont ce que l’on appelle des croyances limitantes. Les croyances limitantes sont difficiles à briser et nécessite avant tout une remise en question profonde de la croyance basée sur la vérité.
La vérité est le seul moyen de nettoyer le mental des noeuds qui entrave notre système de croyance. La vérité est ce qu’il y a de plus important si nous voulons que notre parole soit impeccable. D’un côté de l’épée se trouve le mensonge générateur de croyance limitante par notre parole et de l’autre côté se trouve la vérité génératrice de liberté mentale et émotionnelle et de croyances dynamisantes pour faire évoluer l’individu.
En observant les interactions humaines, on se rend compte que la médisance est la principale forme de communication. C’est de cette façon que l’on se sent proche ou non de quelqu’un, car on se sent mieux lorsque l’on voit quelqu’un être aussi mal que soit.
La peur et la souffrance sont les instruments qui tirent l’humanité vers le bas et maintiennent les êtres humains dans un bas niveau d’énergie. Si l’esprit humain est un ordinateur, alors un virus informatique est comme une rumeur qui se répand dans les cerveaux. La médisance fonctionne de la même façon qu’un virus informatique.
Combien de fois avons-nous médit une personne qui nous est chère dans le seul but que les autres soutiennent notre opinion. Combien de fois avons-nous capté l’attention d’autrui pour libérer du poison sur la personne que l’on aime pour conforter notre opinion ?
Ce n’est pas forcément vrai, rien ne nous dit que c’est vrai. Notre opinion résulte de notre ego, de nos croyances. Nous créons du venin et le partageons avec autrui comme un virus informatique pour se répandre dans les esprits afin de nous sentir bien.
C’est pourquoi, nous avons tous à titre individuel un gros travail à fournir pour stopper la propagation de rumeur par notre quête permanente de la vérité par une recherche constante et assidu de celle-ci. En ayant une parole impeccable fondée sur la vérité et l’authenticité, nous éliminons progressivement tout poison de notre esprit et de nos relations vis-à-vis d’autrui.
Avec une parole impeccable, on s’immunise des opinions des autres qui nous ne servent pas pour notre évolution. On ne reçoit que ce qui est négatif si on y est ouvert. Ainsi on stérilise les intentions issues de la magie « noire ». Au contraire, avec une parole impeccable, notre esprit s’ouvrira aux graines de l’amour qui conduiront à la liberté et donc au bonheur.
Nous pouvons évaluer la qualité de notre parole par le degré d’amour que nous avons pour nous-même. L’intensité de votre amour propre et les sentiments que vous exprimez envers vous-même sont directement proportionnels à l’intégrité de votre parole. Toute personne qui désire être libre doit avoir une parole impeccable.
Reconnaissez au fond de vous que vous êtes quelqu’un de formidable malgré tout ce que l’on a pu vous dire. Il est temps d’oublier les critiques reçues parce que les gens ne sont pas à notre place et n’ont pas vécu notre vie à notre place.
Vous êtes extraordinaire, il y a une personne brillante, inarrêtable en vous, il y a un génie en vous qui ne cesse de vous faire grandir. Ouvre-vous aux graines d’amour que vous pouvez semer dans votre esprit. Sachez mettre des graines dans l’esprit d’autrui, cela germera selon leur degré de fertilité aux semences de l’amour.
Ne chercher pas à convaincre mais amenez à faire réfléchir autrement.
2. Quoi qu’il arrive, n’en faite pas une affaire personnelle.
Quoi qu’il arrive autour de vous, n’en faite pas une affaire personnelle. Si on se croise dans la rue et que je vous insulte sans même vous connaitre, ne le prenez pas personnellement, cela ne vous concerne pas, cela me concerne moi.
Si vous décidez d’en faire une affaire personnellement, vous risquez de laisser cette opinion pénétrer votre esprit et ainsi créer une croyance limitante. Nous faisons une affaire personnelle de ce qui nous est dit parce que nous décidons d’y donner notre accord.
S’accorder de l’importance, se prendre au sérieux ou faire de tout une affaire personnelle est la plus grande manifestation d’égoïsme que nous puissions faire puisque nous partons du principe que tout nous concerne, que le monde tourne autour de nous.
Or il y n’y a que notre monde personnel qui tourne autour de nous et il est important de comprendre qu’il y a 7 milliards de mondes différents qui interfèrent pour échanger de l’information et de l’énergie pour évoluer tous ensemble vers un monde de paix, de liberté et d’amour.
Par notre éducation, nous avons appris à tout prendre pour soi, être responsable de tout. Vous n’êtes en aucun cas responsable de ce que les autres font et des évènements de la vie qui sortent de votre champs de contrôle. L’action des autres ne dépend que d’eux.
Chacun vit dans son mode comme dit précédemment, lorsque nous prenons les choses personnellement, nous opposons notre monde à celui de l’autre en imposant la vision de notre monde.
C’est pourquoi lorsque vous vous faites insulter ou critiquer par un inconnu, un ami ou même la famille, ne le prenez pas personnellement parce que leur critique résulte de la programmation mentale qui forme leur système de croyance en majorité composé de croyance limitante.
SI vous prenez les choses personnellement, vous devenez une proie facile pour toute personne qui souhaite déverser son venin sur autrui pour se libérer de la charge qui pèse sur lui. C’est de notre devoir de ne pas prendre les choses personnellement pour se protéger du venin (critique, jugement, insulte, sarcasme, etc… ) d’autrui.
Ne pas prendre les choses personnellement, c’est l’immunité contre toutes les mauvaises opinions qui peuvent créer des croyances limitantes dans notre esprit.
Lorsque nous prenons les choses personnellement, on se sent offensé et on réagit de sorte à défendre notre système de croyance, ce qui provoque des conflits internes parce que le système de croyance est déstabilisé.
Parfois, on fait tout un plat pour un rien qui n’a aucune signification particulière parce que nous avons le besoin intérieur d’avoir raison et de donner tort à autrui pour se donner de la valeur. En réalité, tout ce que nous ressentons, faisons ou disons n’est que le reflet de notre monde personnel.
Tout cela dépend de votre système de croyance, cela vous concerne vous, pas moi, parce que nous n’avons pas forcément le même système de croyance. Peu importe ce que l’on dit de vous, n’en faite pas une affaire personnelle.
Lorsque les gens vous disent que vous êtes le meilleur, ne le prenez pas personnellement et lorsqu’on vous dit que vous êtes le roi des nuls, ne le prenez pas personnellement non plus. Dorénavant, vous saurez que quelqu’un est heureux si la personne en question vous dit que vous êtes un ange et que la personne ne s’aime pas lorsqu’elle vous dira que vous êtes un démon.
Dans un cas comme dans l’autre, ne prenez pas les choses personnellement parce que vous savez ce que vous êtes. Vous n’avez besoin de l’accord de personne pour être accepté. Le besoin d’approbation et le regards des autres est un poison parmi les plus vicieux de notre société actuelle.
Les gens vous voient à travers leur façon de voir le monde, dans leur monde, c’est pourquoi il ne faut pas s’en attacher. Certains d’entre vous peuvent se sentir blessé par ces propos. Ceux ne sont pas les propos qui sont blessants mais les plaies intérieures qui réagissent à l’entente de ces propos.
En réalité, vous vous blessez vous même parce que personne ne peut prendre la responsabilité de vos reproches et de vos critiques. Vos reproches et vos critiques sont le reflet de votre état intérieur et c’est sur ces plais qu’il est important de se focaliser pour les cicatriser en totalité.
Chacun créé une scène, tout un film dans lequel nous sommes le producteur, le metteur en scène et l’acteur principal. Les autres n’ont que des rôles secondaires, c’est votre film.
Prendre une position d’observateur pendant quelques instants en prenant du recul permet de voir le personnage que nous jouons et arrêter de se prendre au sérieux par l’acteur que nous sommes. Ainsi, on ne prend pas les choses personnellement.
Comme le film est notre projection personnelle, c’est-à-dire que c’est notre vérité à nous et celle de personne d’autre. Si vous en voulez à quelqu’un, vous êtes en réalité confronté à vous-même. L’autre n’est que le prétexte extérieur pour se mettre en colère ou pour faire prendre conscience qu’il y a de la colère en nous que l’on chercher à guérir.
La colère comme tout autre émotion désagréable est provoquée par la peur. Si vous n’avez pas peur, il n’y a aucune raison d’être irrité contre autrui. Si vous n’avez pas peur, il n’y a aucune raison de haïr, d’être jaloux ou triste.
En réalité, si vous vivez sans peur, c’est-à-dire que vous vous aimez et vous avez une confiance en vous illimitée, ces émotions négatives n’ont pas leur place. Ainsi vous vous sentirez bien parce que vous vous appréciez tel que vous êtes, vous êtes satisfait du film que vous produisez et que vous jouez.
Quoi que les gens fassent, pensent, disent ou quoi qu’ils ressentent, n’en faite pas une affaire personnelle. Toujours se rappeler que nous sommes le reflet de l’autre et que nous serons à l’image de ses propres perceptions. Si on vous dit que vous êtes merveilleux, ce n’est pas à cause de vous.
Vous savez déjà au fond de vous que vous êtes merveilleux, c’est pourquoi vous n’avez pas à croire quiconque qui vous le dit. Ne mettez pas la clé de votre bonheur dans la poche d’autrui. Votre bonheur vous appartient, c’est pourquoi ne prenez pas personnellement les projections d’un autre en particulier ou des autres de manière générale.
Même les opinions que nous avons sur nous-même ne sont pas nécessairement vrai, c’est pourquoi nous ne devrions pas prendre les choses personnellement également à ce que l’on peut se dire dans notre tête.
L’esprit peut se parler à lui-même parce qu’il peut entendre des informations qui viennent d’autres sources. Parfois on peut entendre une voix dans notre tête et se demander d’ou elle vient. Elle peut provenir d’un autre réalité où vivent des êtres vivants autres que des humains.
Nous pensons encore à tort que nous créons nos propres pensées. En réalité, notre cerveau est un simple récepteur par lequel transite toute sorte de pensée et que nous décidons à titre personnel de retenir ou non en mémoire dans notre esprit.
L’esprit peut percevoir d’autre réalité. Nous voyons grâce à nos yeux, notre esprit voit la réalité du monde éveillé. Mais nous pouvons très bien voir sans les yeux d’autres réalités.
Lorsque nous rêvons par exemple, nous avons les yeux fermés, cela ne nous empêche pas d’avoir des images mentales provenant d’autres dimensions dont nous n’avons pas conscience car notre esprit est rationalisé par le monde tel qu’on le vit sur Terre.
Nous avons en revanche le choix de croire que nos rêves nous disent tout comme ces voix qui communiquent avec nous par le biais des pensées qui transitent à travers notre cerveau.
Si on leur donne notre accord parce qu’elles ont capté notre attention, elles vont pénétrer notre esprit et s’enregistrer dans notre disque dur qui mémorisent toute notre programmation mentale depuis le début de notre vie sur Terre.
L’esprit peut aussi se parler et s’écouter lui-même. Quand une partie s’exprime, une autre écoute. Il y a un problème de communication mentale à partir du moment où plusieurs voix dans notre esprit parle en même temps.
De la même façon qu’il y a un souci de communication si on essaye d’entendre quelqu’un en particulier alors qu’il y a tout un groupe ou une foule de personnes qui parlent en même temps empêchant la communication de se faire de façon claire et fluide.
Les milliers de parties qui composent notre esprit ont chacune des pensées et des sentiments différents. Imaginons-les comme des sous-personnalités de notre propre personnalité. Par exemple, il y a une sous-personnalité qui joue le rôle du père de famille par rapport à ses enfants, le rôle du conjoint ou conjointe par rapport à sa moitié, le rôle du médecin qui prend soin de son état de santé, le rôle du business qui entreprend ses affaires ou son rapport au monde professionnel, etc…
Tous ces rôles et sous-personnalité sont plus ou moins développés en chacun de nous. Ces sous-personnalités peuvent présenter de grandes différences de développement, ce qui entraine des déséquilibres mentaux.
Par exemple, si on s’est concentré sur l’évolution de notre personnalité businessman et que nous avons délaissé notre personnalité de conjoint, il y aura déséquilibre et ces personnalités vont interférer tôt ou tard. C’est pourquoi l’ensemble de notre programmation mentale, l’ensemble de nos croyances peut comporter des incompatibilités.
Il y a des accords contradictoires qui peuvent rentrer en conflit d’une partie à l’autre de l’esprit, d’une sous-personnalité à une autre. Les conflits internes provenant de nos contradictions mentales nous perdent parfois, c’est pourquoi l’humain ne sait plus ce qu’il veut, ne sait plus comment ni quand il le veut.
Certains humains ne sont plus en accord avec eux-mêmes parce que certaines parties d’eux-mêmes veulent une chose tandis que d’autres parties veulent exactement l’inverse. Il n'y a qu’en faisant de la lumière sur toutes nos voix intérieures qui parlent en même temps que nous pourront résoudre nos conflits internes.
Quoi qu’il arrive, ne prenons pas les choses personnellement. Parce que si nous prenons les choses personnellement, nous nous programmons mentalement à souffrir parce que l’on créait une dépendance vis-à-vis d’autrui ou de quelque chose.
Nous avons tous plus ou moins un degré de dépendance à la souffrance et inconsciemment, on s’encourage mutuellement en tant qu’humain à entretenir ces dépendances vis-à-vis de la souffrance. Par exemple, si vous avez le besoin qu’on vous insulte ou qu’on vous maltraite, vous n’aurez aucun problème à trouver quelqu’un pour le faire.
Tous les jours, on se rend compte qu’il y a des gens qui nous mentent et l’on s’en rend compte au fur et à mesure que notre champs de conscience évolue. Plus notre niveau de conscience évolue, plus on se rend compte également que l’on se ment à soi-même parce que le niveau d’avancement de notre conscience nous fait accepter des éléments que nous étions incapable d’accepter auparavant en l’état.
Vous n’attendez pas toujours à ce que les gens vous disent la vérité car les gens se mentent parfois à eux-mêmes. Celui qui agit ainsi a peur. Peur que vous découvriez que la personne n’est pas parfaite. C’est pas toujours facile de retirer le masque social derrière lequel on a pu se cacher pendant des années.
Vous devez avoir confiance en vous et croire ou non à ce que l’on dit mais dans tous les cas, n’en faite pas une affaire personnelle. Soyons honnête envers nous-même. Acceptons de reconnaitre la vérité sur quelque chose ou quelqu’un même si cela peut paraitre douloureux. Il n’est pas nécessaire de s’attacher à cette douleur.
La guérison est un chemin et il n’y a que le temps qui peut améliorer les choses pour nous et amorcer ce processus de guérison mentale qui nous mènera à une liberté d’être et d’agir.
Si nous arrivons à faire de ce deuxième accord une habitude de vie, nous nous octroyons une immense liberté et nous nous immunisons contre toute opinion. Si on n'accorde pas de l’importance aux opinions d’autrui dont nous ne sommes pas d’accord, nous refusons de changer notre système de croyance et ainsi de souffrir pendant des années et parfois toute une vie.
En refusant le venin envoyé par un autre, c’est celui qui vous l’envoie qui s’en trouvera encore plus mal, mais pas vous. Quoi qu’il arrive, n’en faite pas une affaire personnelle.
3. Ne faites pas de suppositions.
Nous avons tendance à faire des suppositions à propos de tout. Le problème n’est pas là mais plutôt que croire que ces suppositions que nous faisons nous même dans notre tête sont des vérités. C’est ainsi que l’on peut faire des suppositions sur ce que les autres font ou disent, ce qui nous incitent à prendre les choses personnellement, nous leur en voulons et communiquons notre venin par nos propos.
A chaque fois que nous émettons une supposition, on crée des problèmes. Toutes les tristesses et souffrances de nos vies proviennent de cette mauvaise habitude de faire des suppositions et de prêter des intentions à autrui et de prendre les choses personnellement.
Il vaut mieux poser des questions que de faire des suppositions, parce que les suppositions que l’on émet nous sont personnels et nous programme mentalement à souffrir si la supposition s’avère fausse, ce qui est la plupart du temps le cas. Pourquoi ? Parce que nous sommes les seuls à vivre dans notre monde personnel dans notre tête.
Exemple : vous êtes en soirée, vous rencontrez une personne qui vous sourit et s’en va. Cette scène peut déboucher sur tout un film imaginaire dont nous sommes le seul créateur dans notre tête. C’est ainsi que l’on se met à croire que l’on imagine et parfois on va tout faire pour le rendre réel.
Parce qua la personne vous a sourit, vous pouvez croire et émettant la supposition que la la personne vous aime beaucoup. De cette supposition, une relation commence à se construire dans notre tête, pouvant même aller jusqu’à imaginer un mariage en l’espace de quelques secondes. Mais c’est uniquement dans notre tête que cela se passe.
Faire des suppositions à propos de nos relations est le meilleur moyen de s’attirer des problèmes. Par exemple, nous supposons que notre partenaire sait ce que nous voulons sans même prendre le soin de le lui dire. Nous croyons qu’il va faire ce que nous désirons, parce qu’il nous connait bien.
Sauf que notre partenaire n’est pas dans notre tête, et s’il ne fait pas ce que nous désirons, c’est la déception qui mène à la souffrance parce qu’on s’attendait à quelque chose que l’on a pas, c’est ainsi que l’on peut dire à notre partenaire : « Tu aurais du le savoir. »
Lorsque nous faisons des suppositions, nous créons automatiquement des attentes vis à vis de quelqu’un ou de quelque chose. Les suppositions que nous faisons concernant les relations provoquent beaucoup de bagarres, difficultés, incompréhensions avec les gens que nous sommes censés aimer.
Dans les relations, on peut se laisser aller à supposer que les autres savent ce que nous pensons sans avoir à formuler nos besoins. Nous pensons qu’ils vont faire exactement que nous voulons parce qu’ils nous connaissent bien. Et s’ils ne le font pas, nous nous sentons blessés.
Un conflit se produit parce qu’on a fait une supposition. Lorsque plusieurs conflits s’empilent les uns sur les autres, le climat entre les personnes devient insupportable. La séparation sera douloureuse pendant quelques temps mais le coeur guérira.
Nous avons besoin de tout justifier, de tout expliquer, de tout comprendre pour nous rassurer. C’est ainsi que l’on fait des suppositions à propos de tout. Lorsque quelqu’un nous dit quelque chose, nous faisons la supposition sur ce que sont ses motivations.
S’ils ne nous disent rien, alors nous faisons d’autre suppositions destiné à combler le besoin de savoir pour éviter la communication. En faisant des suppositions, on va finir par croire ces suppositions parce que nous n’avons pas toujours le courage de poser des questions.
La plupart du temps, ces suppositions sont effectuées très rapidement et inconsciemment, parce que notre système de croyance nous incite à communiquer ainsi. Une croyance nous dit qu’il est dangereux de poser des questions, une autre nous dit que si les autres nous aiment, ils doivent savoir ce que nous voulons.
À partir du moment on croit quelque chose dur comme fer dans notre tête, on part du principe que l’on a raison, au point que l’on est prêt à détruire une relation pour défendre sa position. Nous supposons que les autres voit le monde et la vie tel que nous le voyons les choses dans notre tête.
C’est la supposition la plus importante que font les êtres humains. Ainsi on craint le fait d’assumer d’être soi-même avec les autres, car nous pensons qu’ils vont nous juger. Mais il est important de comprendre qu’avant que les autres nous jugent, nous critiques, c’est nous qui le faisons nous-même avant.
Parce que nous n’avons pas accepter le fiât d’être soi-même et inconsciemment que nous jugeons de ne pas être assez bon pour cela, ne pas être à la hauteur pour assumer notre responsabilité d’être soi-même.
On fait également tout un tas de suppositions sur soi-même, ce qui provoque beaucoup de conflits intérieurs. Par exemple, on se dit : « Je suis capable de faire telle chose ». En supposant cela, on peut se rendre compte que ce n’est pas le cas parce que l’on s’est sur-estimez ou au contraire sous-estimez.
On le fait en permanence sans prendre le temps de se poser des questions et de prendre le temps d’y répondre. Peut-être nous faut-il en savoir davantage sur une situation ? Arrêter de se mentir sur ce que nous voulons vraiment.
Lorsque l’on démarre une relation avec autrui, nous voyons en la personne que ce que nous voulons voir et essayons de cacher ou de nier l’existence ce que nous voulons pas voir, c’est à dire ce que nous n’aimons pas.
Parfois, nous faisons des suppositions comme quoi on va transformer la personne avec qui on est ou qu’une personne peut transformer les gens. Une personne n’en changera pas une autre. Si les autres se transforment, c’est parce qu’ils ont décidé qu’ils voulaient changer.
On peut inciter les autres à se transformer en les inspirants par notre simple personne et l’exemple que l’on peut représenter mais en aucun cas changer les autres directement. Sinon on fait une supposition et le conflit intérieur est assuré.
On n’a pas à justifier l’amour. L’amour est présent ou il ne l’est pas. Le véritable amour consiste à accepter les autres tel qu’ils sont. Accepter les autres, c’est ne pas essayer de les changer et les façonner à sa propre image qu’on essaye de le faire inconsciemment. Si nous essayons de les changer, c’est que nous ne les aimons pas au fond.
C’est pourquoi, lorsque l’on s’engage dans une relation, nous devrions s’engager avec une personne qui est exactement tel que nous souhaitons. Une personne que nous ne voulons pas changer. Si la personne avec qui vous êtes doit vous transformer parce qu’elle ne vous accepte pas tel que vous êtes, alors pourquoi rester avec cette personne si vous n’êtes pas comme il ou elle le souhaite.
Il est important d’être vrai, de s’assumer tel que l’on est pour ne pas créer une fausse image de soi-même. Souvent, on peut créer une fausse image de soi au début pour plaire à l’image que l’autre s’est fait de nous, mais rapidement le naturel revient au galop et les conflits intérieurs s’installent.
C’est pourquoi toujours véhiculer l’image la plus juste de soi-même. Cela peut sembler dur et c’est pourtant cette communication qui permet un engagement vis à vis d’autrui clair et impeccable. Le jour où on arrête de faire des suppositions sur nos relations, la manière de communiquer change complètement et les relations vont s’assainir des conflits engendrés par des suppositions qui n’existaient que dans notre tête.
Le meilleur moyen d’éviter de faire des suppositions est de poser des questions. Si vous ne comprenez pas, demandez. Avoir le courage de s’exprimer sur ce que l’on ressent vraiment, en mettant des mots sur nos ressentis, nos pensées et nos actes, nous mènera vers un niveau d’authenticité garantissant une vie d’une très grande richesse.
Lorsque vous posez des questions aussi claires que possibles, vous n’aurez plus besoin de faire des suppositions parce que vous saurez la vérité.
En communiquant clairement, toutes nos relations vont changer, non seulement avec nous-même, avec notre partenaire mais avec tout le monde. Plus de supposition parce que tout est clair et fait de vérité. En communiquant clairement, notre parole est impeccable et ne peut pas prendre les choses personnellement.
Cela semble facile mais au combien difficile à mettre en pratique parce que l’on est habitué à faire exactement l’inverse une nouvelle fois. Une information ou une idée n’est qu’une graine semé dans notre esprit.
Cette graine ne pourra jamais germer si on n’en pas prend pas soin en l’arrosant d’action quotidienne qui permettront de changer clairement et concrètement les choses. L’action quotidienne est le fondement d’une nouvelle habitude.
4. Faites toujours de votre mieux.
Quelles que soient les circonstances, nous devons toujours faire de notre mieux. Mais il est important de comprendre que notre mieux ne sera jamais le même d’une fois à une autre.
La vie est faite d’imprévu, tout est vivant et en changement permanent, tout change constamment, c’est pourquoi notre mieux sera parfois à un haut niveau et d’autres fois à un bas niveau. Notre mieux est différent selon les circonstances :
Soit malade ou en bonne santé
Soit le matin débordant d’énergie ou fatigué le soir
Soit sobre ou ivre
Soit irrité ou en pleine forme
Soit en colère ou heureux
etc …
Notre mieux peut changer d’une heure à une autre, d’un jour à un autre, il évolue en permanence comme un cours de bourse qui fluctue en permanence. Si vous souhaitez faire plus que votre mieux, vous dépenserez trop d’énergie et au final votre mieux sera retrouvera affecté.
Lorsqu’on en fait trop, on se vide de notre énergie et nous agissez contre nous-même avec pour seule conséquence un délai de temps plus long pour atteindre votre objectif. En revanche, lorsque nous faisons moins que notre mieux, nous nous exposons aux frustrations, au jugement personnel, à la culpabilité et aux regrets.
C’est pourquoi, faisons toujours de notre mieux, ni plus ni moins. Peu importe l’état dans lequel on se trouve, faisons toujours de notre mieux. Si nous faisons toujours de notre mieux, il est impossible de se juger. Sans jugement personnel, la culpabilité, la honte et lap unité autoproclamé n’existe plus.
Si nous faisons toujours de notre mieux, nous vivons intensément et notre existence sera riche et authentique. Nous serons bon envers nous-même et donc forcément envers les autres si nous faisons toujours de notre mieux.
Productif, c’est dans l’action que l’on est heureux parce que seul l’action nous permet de vivre le moment présent. Faire de son mieux veut dire agir en fonction de ce que l’on a envie de faire et non parce que nous attendons une récompense.
En agissant pour attendre une récompense (comme le jour de paie par exemple), nous ne prenons aucun plaisir à ce que nous faisons et c’est pourquoi nous ne faisons pas toujours de notre mieux.
Si nous agissons simplement pour le plaisir de faire les choses parce qu’elle nous tiennent à coeur sans attendre de récompense parce qu’on le fait avant tout pour soi-même, vous découvrirez que vous apprécierez tout ce que vous faites.
A la fois récompensé mais sans pour autant être attaché à la récompense. C’est le meilleur moyen pour obtenir plus de nous-même qu’on ne peut l’imaginer lorsqu’on agit sans attendre de récompense.
Si on aime ce que l’on fait, on jouit pleinement de la vie et on fait toujours de son mieux, la frustration et l’ennui n’ont plus leur place. Lorsque nous faisons de notre mieux, notre juge intérieur ne peut pas nous critiquer et nous culpabiliser parce que nous savons que nous avons fait mieux de notre mieux, il n’y a aucun regret à avoir.
Ce n’est pas facile à faire au quotidien mais petit à petit, on sent le vent de libération que cet accord apporte. Le quotidien est plus agréable et permet d’avancer sereinement dans la bonne direction à son rythme sans jugement ni frustration de la part de quiconque à commencer par soi-même.
Lorsque nous faisons quelque chose par obligation, on ne fait pas de notre mieux parce que la contrainte atténue notre potentiel de créativité et de production. Alors pourquoi s’obliger à faire les choses lorsqu’on y est obligé. Faire toujours de son mieux. Être dans l’action est la clé pour vivre pleinement.
L’inaction est un refus à la vie, un refus de vivre sa vie et le temps qui nous est disponible sur cette Terre. L’inaction, c’est rester assis devant la télévision pendant des heures parce que l’on a peur d’exprimer concrètement qui l’on est vraiment.
On a peur d’être vivant et de vivre sa vie. Une personne peut avoir beaucoup de grandes idées dans sa tête mais la différence réside dans le passage à l’action. Il n’y a que par l’action que vous pouvez retranscrire vos idées et vos pensées aux yeux de la réalité extérieure et du monde. Aucun manifestation, aucun résultat, aucune récompense.
Agir en faisant de son mieux, c’est prendre le risque de sortir de sa coquille et d’exprimer le plein potentiel qui est en nous. Toujours faire de son mieux pour concrétiser son rêve et en faire une réalité.
Attention, cela ne veut pas dire de l’imposer à autrui mais simplement de le réaliser pour soi, et forcément l’impact généralisé se manifestera par la suite. Autre chose très importante pour faire toujours de son mieux est de vivre pleinement le moment présent et se détacher du passé.
Lorsque la vie nous prive de quelque chose, nous devons apprendre à nous en détacher. En pratiquant le renoncement et en se détachant du passé, on se donne la possibilité d’être pleinement vivants dans l’instant présent.
Si on vit dans un rêve du passé, on ne peut pas apprécier ce qui se passe maintenant par le présent ne nous convient pas tel qu’il est actuellement. Le temps nous est compté et nous n’avons pas de temps à perdre pour regretter quelque chose du passé ou même quelqu’un. Nous n’avons pas à savoir ni à prouver quoi que ce soit à quiconque.
Nous avons à être qui on est, à prendre le risque d’apprécier sa vie, c’est tout ce qui compte. Peu importe que ça dérange quelqu’un ou quelque chose, vous avez le droit d’être vous-même. On ne peut être soi-même qu’en faisant de notre mieux.
En faisant de notre mieux, l’habitude de mal utiliser notre parole, celle de faire une affaire personnelle de tout ce qui nous arrive et celle de faire des suppositions vont s’affaiblir et se manifester de moins en moins.
Même si tout n’est pas toujours impeccable, l’important est de toujours faire de son mieux, le but n’est pas d’atteindre un résultat et se diriger dans la direction de ce résultat. C’est très différent. Tout ce que nous avons appris, nous l’avons apprit par la répétition. Que ce soit par l’écriture, la lecture, la marche, nous avons tous apprit par la répétition pour en faire des automatismes.
Il n’y a plus qu’à faire la même chose concernant ces 4 accord Toltèques. Evidemment, ce n’est pas évidemment à mettre tout le temps, tous les jours en pratique mais à force de répétition les résultats apparaissent progressivement.
Agir et mettre en pratique est la seule chose qui fait la différence entre deux personnes qui savent exactement la même chose.
Notre quête de liberté personnelle est possible par le moyen de l’action en faisant toujours de son mieux pour que sa parole soit toujours impeccable, ne pas prendre les choses personnellement et ne pas faire de supposition. Avec le temps, le chemin vers la liberté personnelle se dessinera de lui-même devant nous.
Comments