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Transmutation biologique : ce phénomène qui bouscule la diététique moderne !

Comment expliquer que les poules pondent des oeufs sans prendre du calcium ?  Or on sait que les coquilles des oeufs contiennent du calcium. D'où l’ont-elles tiré alors que leur nourriture en contient très peu.

 

Comment expliquer que la vache produit des tonnes de corps gras dans son lait alors qu'elle ne broute que de l'herbe ? On sait que dans les herbes, il y a très peu de corps gras

 

Comment expliquer que le gorille, le primate le plus apparenté à l'homme arrive à bâtir une musculature herculéenne avoisinant un poids de 200 kg en ne prenant que des fruits, des légumes et des verdures, c'est-à-dire une alimentation dépourvue de produits concentrés en protéines ?

 

Comment tous ces phénomènes sont-ils possibles ? Comment il est possible qu'il y a un nutriment quelconque soit présent en plus grande quantité en sortie de l'organisme qu’en entrée ? Qu'est-ce qui se passe à l'intérieur de l'organisme vivant en question pour expliquer un tel phénomène ?  

 

Ce sont là des questions que la biochimie moderne cherche à répondre. Mais il y a les recherches effectuées par le français Louis Kervran sur les transmutations biologiques qui peuvent expliquer tout ceci.

 

Ces recherches peuvent révolutionner les idées courantes  parce que les organismes vivants ne suivent pas toujours les lois de la chimie comprises à l'heure actuelle par l'homme.

adrien lamacchia

Je m'appelle Adrien, ingénieur généraliste  de profession, je suis un véritable passionné de santé globale et du bien-être humain. 

Je partage mes expériences et mes connaissances à travers ce blog en me disant que ça pourrait servir quelqu'un comme ça m'a servit personnellement.

N'hésitez pas à me contactez si besoin ou à commenter les articles afin que je puisse vous répondre. Bonne lecture !

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transmutation biologique

1. Les transmutations biologiques, c'est quoi ?

Les transmutations biologiques prouvent par exemple que les organismes vivants n’ont pas besoin de prendre une molécule de calcium pour fabriquer une molécule d’os.

 

Selon les recherches et observations de Louis Kervran, les organismes vivants ont le pouvoir de changer un élément en un autre comme par exemple le magnésium en calcium, le manganèse en fer ou encore la silice en calcium.

 

Voilà une explication tangible qui permettrait d'expliquer comment la laitue sert à bâtir de bons os fait à partir de calcium. La laitue est extrêmement riche en silice et contient très peu de calcium.

 

Nos connaissances en chimie sont peut-être limitées pour expliquer un tel phénomène. Les transmutations biologiques nous forcent à réexaminer plusieurs questions sur la nutrition comme par exemple : faut-il des protéines concentrées pour fabriquer toutes les protéines dont nous avons besoin ?  

 

Le professeur Arnold Ehret a répondu non à cette question et plusieurs autres personnes dans le milieu ont approuvé sa réponse. Le lait de la vache contient plus de calcium que n'en contient l'herbe qu'elle broute.

 

Nous savons par ailleurs que la vitamine B12 n'est pas présente dans notre régime alimentaire. On la trouve uniquement dans les produits animaux comme la viande ou pour les végétariens/végétalien sous forme de compléments alimentaires.

A moins que l'on est la capacité de synthétiser nous même cette vitamine au sein de notre flore intestinale, exactement de la même façon que les animaux synthétisent cette vitamine dans leur organisme que l'on mange par la suite. 

 

Qu'est ce qui se passe au niveau de cette flore intestinale et quels sont ces rôles ? 

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flore intestinale

2. La flore intestinale : le laboratoire chimique de la nature humaine.

Il y a 100 mille milliards de germes dans notre tube digestif. Le rôle était particulièrement mal connu depuis ces dernières dizaines d'années.

 

La lumière se fait petit à petit parce qu'à l'heure actuelle on dénombre 450 espèces de bactéries et que ces milliards de bactéries permettent de réaliser un équilibre écologique remarquable. Ce même équilibre écologique intestinal qui constitue un système de défense de l'organisme humain contre l'infection.

 

Robert Ducluzeau, ingénieur agronome et diplômé de l'Institut Pasteur et Pierre Raibaud, directeur de recherche du laboratoire d'écologie microbienne ont travaillé des dizaines d'années sur la flore intestinale dans les laboratoires de l'INRA à Jouy-en-Josas. L'équipe de l'INRA a démontré que le tube digestif renferme une quantité de bactéries 10 fois supérieure aux cellules du corps humain.

 

On parle même d'une des densités bactériennes les plus élevées de la terre. Cette importante population a été oubliée parce qu'elle ne peut pas survivre en atmosphère d'oxygène, c'est pourquoi elle disparaît très rapidement après sa sortie de l'organisme sauf si elle est placée dans des conditions spéciales.

 

Les 450 espèces répertoriées interagissent en permanence les unes sur les autres. Les souches bactériennes les mieux représentées quantitativement limitent la croissance des autres, qui restant minoritaire n'expriment pas leur éventuelle toxicité, ce qui ne créait pas d'infection.

 

La flore intestinale est un écosystème qui tend sans cesse à conserver son équilibre. C'est la nature même de tout le règne vivant : rechercher sans cesse son état d'équilibre le plus parfait.

 

On peut se demander à quoi servent toutes ces bactéries ? Le rôle de ces bactéries a été montré dans :

  • Le transit intestinal,

  • Le métabolisme des sels biliaires,

  • La synthèse des protéines, 

  • Les phénomènes d'absorption d'eau et d'ions, 

  • etc ... 

 

La flore intestinale est capable de fabriquer aussi certaines vitamines comme la vitamine B12. La flore intestinale intervient également dans l'immunité parce que les bactéries qu’elle contient constituent une barrière contre les agressions d'autres souches qui risquent de provoquer des maladies infectieuses.

 

90% de notre immunité ne sont pas des anticorps mais bien des bactéries, virus et microbe de notre flore intestinale qui veillent à lutter contre les bactéries, virus, microbe pathogène. Toutes les bactéries, les virus et les microbes ne sont pas à jeter. 

 

En effet les bactéries au sein de la flore peuvent éliminer complètement la bactérie ingérée ou lui permettre de s'implanter mais en limitant sa multiplication, c'est-à-dire en l'empêchant d'atteindre un niveau de population tel que l'infection se manifeste.

 

Cependant, il reste à faire des recherches concernant ces mécanismes complexes qui régissent ces “effets de barrière”.

 

En prenant conscience de ce phénomène, on comprend que le corps a ses propres moyens de défense qui sont supérieurs à tout ce que l'on peut connaître.

 

La nature a très bien fait les choses et nous n'avons pas besoin d’utiliser sans cesse des antibiotiques qui attaquent littéralement nos populations de micro-organismes (bactéries) qui forment l'essentiel de notre immunité. C'est pourquoi, on reconnait que les antibiotiques endommagent notre flore intestinale. 

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3. La théorie c'est bien, mais la pratique c'est mieux !

Charles Fraser a dit dans Hygienic Review, numéro 6 volume 39 que :

 

De nombreux hygiénistes, tout en pensant que le régime végétarien cru est l'un des meilleurs pour la santé ne sont pas sûrs qu'il soit le meilleur pour bâtir des muscles et une grande force.

 

Ils supposent ainsi qu'un végétarien ne peux pas bâtir du volume musculaire et des forces sans protéine animale. Récemment un champion m'a demandé s’il est possible de développer un physique de champion sans viande.

 

Je lui ai répondu par l'affirmative quoi que j'ai eu peu d'exemples à lui montrer. J'ai dit que je ne connais pas d'athlètes qui aient bâti dès le début, sa musculature sur un régime végétarien mais j'en connais qui l'ayant bâti au début sur un régime carnivore sont devenus végétariens par la suite et on réussi à maintenir leur fantastique musculature de même que leurs forces énormes. Ils ont reconnu la supériorité du végétarisme et maintiennent tout ce qu'ils avaient acquis, sur un régime végétarien.

 

L'un des athlètes est Bill Pearl,  ex Mister America et Mister univers. J'ai lu ensuite l'ouvrage sur les transmutations biologiques de Louis Kervran qui est un français. Ce chimiste a noté dans ses expériences et ses nombreuses observations sur les animaux que dans les organismes vivants, les éléments et les composés issus de la digestion et de l'assimilation peuvent produire d'autres éléments et d'autres composés qui n'existaient pas auparavant !  

 

Ainsi le principe de la chimie selon lequel les aliments peuvent changer de forme seulement (de solide en liquide, ou en gaz, etc) et non changer totalement d'éléments, ne s'applique qu'aux éléments morts en dehors de l'organisme vivant. Dans l'organisme vivant cette loi de la chimie est violée superbement !

 

C'est ainsi par exemple en partant du magnésium, du silice, du manganèse, du sodium, d'autres sels minéraux divers et des vitamines, le corps peut construire du calcium, du fer, des protéines, etc. Le corps agit comme un laboratoire chimique qui ne demande qu'une variété d'aliments naturels crus pour produire des merveilles ! 

En conclusion, lorsque l'on voit certains sportifs qui maintiennent leur masse musculaire après une transition vers un régime végétarien, on peut en conclure que notre flore intestinale a la capacité de synthétiser les protéines, les vitamines et les autres éléments dont on a besoin. 

Cependant, les recherches à l'heure actuelle sont encore trop "pauvres" pour déterminer clairement que cela est possible. A l'inverse, des personnes souffrent de carence en vitamine B12 autant chez les végétariens que chez les omnivores. 

C'est pourquoi, ce n'est peut être pas une question d'alimentation mais plutôt de l'état de notre flore intestinale. Si son état est correct alors elle sera en mesure de synthétiser les éléments chimiques dont nous avons besoin indépendamment qu'on lui apporte des produits animaux ou pas (exemple des sportifs ci-dessus). 

 

En revanche si son état est délétère par un abus de produits chimiques qu'ils l'attaquent (antibiotiques, laxatifs pharmaceutiques, additifs alimentaires, pesticides, certains plastiques, ...), son état justifiera qu'elle ne peut synthétiser au mieux nos substances vitales. 

On suppose par la même que les animaux capables de synthétiser cette vitamine B12 par exemple ont une flore intestinale en bon état justifiant sa présence dans leur organisme. 

 

C'est pourquoi, devant autant de suppositions, on ne peut rien affirmer avec certitude. La situation est en effet différente en fonction de l'état de la flore intestinale de chacun. 

adrien lamacchia

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